Charlie Peters [Validé]

* Identité

Nom : Peters
Prenom(s) : Charlie William Roy
Surnom(s) : Charl'
Age : 25 ans
Signe astrologique : vierge
Lieu de naissance : Denver, Colorado
Nationalité : américaine

Statut professionnel : aucun
Occupation : Chasseur

* Caractère / Psychologie & Physique

Caractère : Merci de faire des phrases. Un minimum de six lignes est demandé dans ce champ.
Charlie était entier. Vite en colère, sans retenue, c'était un des traits pincipaux du caractère du jeune homme. Mais ça n'était valable que lorsqu'il s'agissait des personnes qu'il aimait. Sa famille, ce qui comprenait Oliver Maraval bien entendu, ainsi que ses amis. Quand c'était à lui qu'on s'attaquait, Charlie a beau avoir un ego d'une taille assez impressionante, il "laissait couler". Les insultes ou quelconques autres attaques glissaient surlui comme l'eau de pluie sur un parapluie. Cependant, lorsqu'il se met en colère, il faudrait vraiment qu'il ait une excellente raison pour se calmer et se retenir... de frapper. Charlie n'est pas du genre fluet, il fait même très attention au moindre détail de son apparence, alors vous pensez bien que la musculature passe également au crible, et c'est cette musculature qui lui permet d'envoyer de bonnes droites bien placées, et abîmantes. Très utile pour se défendre face à un vampire. Cette colère facile montre également à quel point Charlie peut être loyal, c'est là un autre trait de caractère absolument indéniable chez Charlie. Ses amis n'ont rien à craindre de lui, il ne leur fera jamais de mal, sauf si c'est pour leur propre bien. Encore faut-il avoir une conception du bien et du mal correcte, morale. Lorsque Charlie a "converti" Oliver à son loisir préféré, la drague, il ne pensait pas à mal, il était même mené par un but très honorable (voir dernier paragraphe "Histoire et vie"), mais passer d'une fille à une autre comme ça, ce n'est pas forcément l'idée que l'on se fait du "bien". Mais Charlie était comme ça. Pourquoi? Bonne question, je ne pense pas que lui même sache pourquoi il agit de cette façon. C'est juste... amusant. Divertissant. Mais après la mort de Sarah, c'était soit tout, soit rien. Soit Charlie se "vidait l'esprit" et prenait la première fille qui lui tombait sous la main, pour penser à autre chose qu'à la vengeance qui le consumait. En général, il avait quelques verres à son actif, ou juste ses mauvaises habitudes qui reprenaient le dessus. Soit il n'en touchait pas une de toute la soirée et s'affalait sur son lit. En général, il avait un exorcisme à son actif, ou juste des pensées sombres qui lui grignotaient l'esprit. Rien de très joyeux me direz-vous. Et pourtant, dès que l'occasion se présentait, Charlie était le premier à sauter dessus, si je puis me permettre, pour balancer une blague quelconque, qu'elle soit de haut vol ou complètement ras les pâquerettes. Mais bon, quand votre soeur s'est faite assassinée il y a moins d'un an de cela... les occasions de rire ne font pas foule. Dans l'esprit de Charlie, depuis un an, la vie c'était: Oliver, vengeance, filles. Oliver, vengeance, filles. Oliver, vengeance, filles. Oliver. Vengeance. Filles.

Plus grande qualité : Sa capacité à passer de la franche rigolade à un sérieux du plus grand effet. Un temps pour s'amuser, un temps pour bosser, plus qu'une devise, une règle de vie pour Charlie.
Plus grand défaut : C'est un coureur de jupons invétéré... désespérant...

Manie(s) : Les habitudes qui reviennent tout le temps, des petits tics, gestes...
HUM. Comment tourner ça joliment? A l afâcheuse tendance à ne pas résister à l'appel du beau sexe. Bref, plus crûment, il saute sur tout ce qui bouge. Bon, ça, c'est dit... Une autre manie qu'il a est celle de se passer la main dans ses cheveux fous toutes les cinq minutes. Au début, c'était juste pour que sa coiffure ne retombe pas, ne s'applatisse pas. Pour donner du volume quoi (Il paraît que le shommes sont négligés... Il paraît^^). Mais bon, vous savez, quand vous répétez trop souvent un même geste, il finit par rester.

Plus grande peur : Qu'Oliver Maraval meurt. Si on pouvait d'ailleurs éviter d'en parler... Et croiser le fantôme de Sarah. Savoir que sa soeur n'a pas pu trouver le repos le réduirait à néant...

Couleur préférée : Rouge. C'était celle de Sarah...
Objet préféré : Un simple anneau d'or que Sarah portait constamment, mais qu'elle n'avait pas le soir de sa mort... Charlie est persuadé qu'avec cet anneau sur elle, rien ne serait arrivé à sa soeur. Un porte-bonheur en quelque sorte... Depuis la disparition de Sarah, il porte cet anneau gravé S, accroché à une vieille chaîne dorée, retrouvée au fin fond d'un tiroir, et ne le quitte jamais.
Film préféré : Grease, avec John Travolta. Et vous savez quoi? A force de s'efforcer de reproduire les chorégraphies du film étant petit, mon très cher Charlie danse (presque) comme John Travolta!
Chanson préférée : These summer's nights issue de Grease
...
Oui, bon, d'accord, c'est pas ce qu'on peut trouver de plus récent, mais bon... c'est déjà plus joyeux que U Turn (Lily) d'Aaron qu'il peut écouter en boucle pendant des heures, jusqu'à ce qu'Oliver n'en puisse plus...

Apparence physique : Un minimum de quatre lignes est demandé dans ce champ.
"Quelle bouille d'ange!" C'est ce qu'on pourrait laisser échapper en parlant de Charlie Peters. Bien qu'il ne soit pas blond. Oui, parce que, d'habitude, les "têtes d'anges" sont blonds, avec d ebeaux yeux bleus, des traits fins et délicats, etc... Pour ce qui est des beaux yeux bleus, là, aucun problème; Charlie, ou Charl' pour les intimes, les avait. De grands yeux du même bleu très sombre que l'on trouve au fond des océans, un bleu particulier... mais dans lequel on s'abîme tellement rapidement... Des yeux ronds d'enfants, constamment grands ouverts sur le monde, le regard pétillant et toujours étonné de ceux qui découvrent les sept merveilles du monde. Quand on regardait Charlie Peters, on avait l'impression que la Terre toute entière était une grosse glace à la vanille! Bon, il est vrai que je m'attarde un peu (beaucoup) sur le regard prenant du jeune homme, mais c'est surtout parce que c'est la première chose que l'on remarque chez lui, même si le reste n'est pas (du tout) désagréable à regarder. Des traits non pas "fins et délicats" comme les têtes d'anges, pas non plus taillés au couteau, mais juste forts, bien présents, juste pour montrer que le fils Peters était un mec, un vrai. Ajoutez à cela un sourire... à la Dean Winchester? Non, quand même, n'exagérons rien! Ledit sourire est unique, impossible à reproduire à force de perfection! Non, le sourire de Charlie... craquant. Un grand sourire enjôleur et malicieux, la plupart du temps en coin, ça fait toujours mouche. Tout cet assemblage plutôt "attractive", comme diraient nos voisins d'Outre-Manche, était surmonté d'une jungle de cheveux épais, ou noir de jais, ou châtains quand ils s'éclaircissaient avec le soleil d'été. Indomptable sa chevelure folle? Assurément non. Ca fait juste plus chic le look "négligé". Plus classe. Bizarrement, les filles ne semblaient pas très fanas de l acoupe "raie-sur-le-côté-façon-premier-de-la-classe", c'était moins... pratique. Comment le savait-il? Hum... bon, ne le répétez pas, mais il en a fait la douloureuse expérience. Et oui, Charlie Peters était passé par là le pauvre garçon, mais bon... n'est-ce pas ce que l'on appelle une "erreur de jeunesse"??
Pour ce qui est du reste du corps, je dirais juste qu'il est athlétique.Ben oui, avec le métier qu'il fait, mieux vaut avoir la forme. Mais les muscles déliés se laissant deviner sous s apeau blanche était surtout là pour que, je cite, "les filles aient autre chose àremarquer que sa taille". Et oui, malgré le fait que Charlie fasse une taille tout à fait respectable, c'est-à-dire 1m77 précisément, môssieur râlait, se trouvait trop petit, et ce bien qu'on lui ait longtemps rabâché que ce n'était pas la taille qui comptait [HJ: Ninis, Lalyne...^^]. Mais bon, là n'est pas la question, ça tient plus du caractère. Sinon... Ah, si, une dernière chose à laquelle j'attache assez d'importance, un détail qui m'est venu. Ses mains. De belles grandes mains, aux doigts légèrement noueux mais qui laissent deviner une certaine puissance. D'ailleurs, en général, quand les gens lui serrent la main, ils sont un peu étonnés par la poigne de Charlie Peters... toute douce. On pourrait dire qu'elles sont d'apparence de fer, mais qu'elles se révèlent être de velours... Ces mêmes personnes sont aussi ensuite surprises par les nombreuses petites cicatrices blanches qui courent sa peau. Il n'en a pas que sur les mains, non,elles courent tout son corps. En même temps, ilest vrai que la peau de Charlie a la fâcheuse tendance à fortement marquer la moindre petite coupure. Alors vous imaginez bien, en tant que chasseur...

* Histoire & Vie

Histoire : Un minimum de quinze lignes pleines est demandé dans ce champ. De la naissance à la vie d'aujourd'hui, vous en avez sûrement des choses à raconter !
Lena Stanford, belle grande brune aux yeux noirs. John Peters, homme charmant à la carrure d'athlète. Une styliste et un avocat. Une rencontre qui fit des étincelles... dans le mauvais sens du terme. Dès les premières secondes où ils se rencontrèrent. Lena et John ne purent pas s'encadrer. Pour John, Lena était trop ceci, trop cela, bien trop réservée et pas assez amusante, et pour Lena, John était bien trop arrogant... et coureur de jupons. Et puis, au fil du temps, "les extrêmes s'attirent" comme on dit. Du coup, deux ans après leur rencontre, Lena et John se marièrent. Et l'année suivante, leur maison accueillit un nouvel habitant, une petite bouille aux mêmes yeux bleu foncé de John, et aus mêmes cheveux noir de jais de Lena. Un mélange parfait, le mixage idéal et rieur des deux tourtereaux. Pendant un an, Charlie fut leur seul et unique centre d'intérêt,mais très vite, un nouveau bout de chou débarqua. Sarah, elle, avait hérité de la chevelure caramel de son père et d'yeux verts venus d'on ne sait où. Charlie avait beau n'avoir qu'un an à l'époque, il comprit rapidement qui'l n'était plus le centre du monde, et fit de ce fait de la première année de vie de Sarah un Enfer. La jalousie n'a pas d'âge, elle avait mené les pas du garçonnet. Mais bon, la méchanceté c'ets bien marrant pendant un certain temps, mais au bout d'un moment, ça devient répétitif, monotone. Et puis, Charlie grandissait, et, avantage de l'enfance, il oublia vite la raison pour laquelle il tirait les cheveux de la fillette qui partageait sa vie. Fort heureusement pour lui, Sarah ne garda aucun souvenir de cette terrible époque. Les deux enfants grandirent comme comme tous les frères et soeurs, c'est-à-dire en enchaînant disputes et instants de complicité. Mais si jamais vous aviez demandé à l'époque à Charlie combien de frères et soeurs il avait, sans aucun doute vous aurait-il répondu:

"Deux."
"Ah bon? Et comment s'appellent-ils?"
"Oliver et Sarah."
"Oliver? C'est ton frère?"
"Ben oui."
"Et il a quel âge Oliver?"
"Le même que moi!"
"Ah, vous êtes des jumeaux alors?"
"Ben non! Il a des cheveux roux et moi ils sont noirs! T'es bête madame! En plus, il habite pas à la maison, il est chez Opal et Owen, à côté."

Non, non, ne vous tapez pas la tête contre les murs, et laissez-moi vous expliquer.

La famille Maraval était arrivée à Denver quelques temps après la famille Peters pour s'installer dans la maison juste à côté. Immédiatement, le clan des O' avait plu aux Peters. Opal et Owen étaient adorables, tout comme leur fille Ophely d'ailleurs; ce bon caractère visiblement de famille était plein de promesses pour leur deuxième enfant "en cours" comme ils aimaient le dire. C'est ainsi que naquit Oliver, un autre O', quatrième du clan. Le bonheur qui pouvait se lire sur le visage d'Opal à cette époque-ci avait fait grandir l'impatience de Lena, enceinte depuis quelques mois également. Puis le jour J était arrivé, et Lena avait enfin pu tenir son Charlie entre ses bras. D'un commun accord, les deux mères avaient élevé leurs fils ensemble, les emmenant au parc ensemble, les laissant ensemble à la crèche, les inscrivant dans les mêmes écoles, faisant leur possible quand c'était nécessaire pour que leurs fils soient également dans les mêmes classes. Les activités de Maraval fils étaient celles de Peters fils, les préoccupations du premier enfant de Lena et John étaient celles du quatrième O', et, même si une fois ils eurent un différent alors qu'ils étaient enfants, rien, je dis bien rien, ne pouvait les séparer. D'un certain côté, les deux garçons étaient frères, liés par une fraternité qui permettait à l'un comme à l'autre de se dire "je t'aime" sans qu'il y ait quelques malentendus que ce soit. Et ceux qui interprêtaient mal leurs propos... quelle importance? Ils ne pouvaient pas comprendre. Lena et John eux avaient accepté. Comprendre était hors de leur portée, mais accepter passait sans problème. C'était Oliver et Charlie. Charlie et Oliver. Jamais Oliver, ni Charlie tout court.
Seulement, une chose qu'Oliver n'avait pas eu le droit de dire à Charlie pendant plusieurs années, était la raison pour laquelle Owen et son fils partaient si souvent en "camping" le week-end ou pendant les vacances. Charlie y croyait à cette histoire de camping, après tout, pourquoi Oliver lui cacherait quelque chose? Et bien, pour une raison bien simple: il existe des choses qui ne doivent pas être connues de tous, des choses dont seules certaines personnes connaissent l'existence. Or Charlie faisait partie de ces personnes qui ne doivent rien savoir. Oui, "faisait". Parce que maintenant, Charlie savait. Depuis ses treize ans il savait. Depuis qu'un week-end, alors qu'Opal lui avait offert de goûter chez les Maraval, il avait vu Oliver et son père rentrer du "camping". Et là... Même Opal n'avait pas supporté la vision de son fils: ensanglanté et passant le pas de la porte en titubant. Owen s'était fait incendié, Oliver vite soigné, et Charlie mis au courant. C'est Oliver qui lui avait tout révélé. Il avait décidé de tout lui dire, et pour cause: des entailles pareilles... "On ne sort pas vivant d'une attaque de grizzli!" avait grondé Charlie. Mais quand Oliver lui avait parlé de démons, de monstres, d'esprits qui existeraient vraiment, qui grouilleraient sur Terre,et de chasseurs qui seraient chargés de es renvoyer de là d'où ils venaient... Charlie avait éclaté de rire. Bon, okay, Oliver ne voulait pas lui révéler ce qui c'était passé, mais il n'était pas obligé de lui raconter des histoires à dormir debout! C'est bon, à treize ans, Charlie ne croyait plus au croquemitaine, ni au crocodile caché sous le lit, encore moins au squelette qui moisit dans le placard! Il avait donc ri. Ri aux éclats. Mais pas Oliver. Devant l'air triste et déconfit de son frère, le jeune brun aux yeux bleu s'était arrêté net. Ben quoi? Ce n'était pas une blague? Ce n'était pas une des inombrables blagues qu'Oliver balançait à tout bout de champ pour détendre l'atmosphère??

"Attends... tu déconnes là, vieux... pas vrai?"

La question avait été posée de façon à juste avoir besoin d'être confirmée, mais pas réfutée. En y repensant plusieurs années plus tard, Charlie souriait en imaginant la tête qu'il devait avoir eue à cet instant précis, au moment même où il avai réalisé que non, son frère ne plaisantait pas du tout... et quand il avait entendu Owen et Opal se disputer franchement. Surtout quand Opal avait dit à sonmari:

"Comment as-tu pu faire une erreur aussi grossière?? Je croyais que les démons se différenciaient nettement des simples fantômes!! Je te préviens, si jamais tes foutus esprits viennent à bout de notre fils, c'est toi qui devra revenir sur Terre pour t'en occuper après que je t'ai expédié six pieds sous terre, Maraval!!"

Là, plus de doutes possibles. Charlie était retourné voir Oliver... et lui avait pos plein de questions. Des tonnes et des tonnes. Il s'était découvert un intérêt insoupçonné pour le paranormal, la parapsychologie, le surnatural, bref, dans d'autres termes, la chasse. Plus un nouveau point commun avec son frère, et des discussions définitivement sans tabou, sans secret, une existence d'une transparence irréprochable avec son "faux jumeau". Depuis ce jour-là, Charlie avait été initié à la chasse par les deux chasseurs du clan O' (et oui, monsieur Maraval était un chasseur!!). Ca ne s'était pas fait sans mal bien sûr, car il avait fallu en parler avec Lena et John, et donc... comment dire? Ils étaient vraisemblablement moins ouverts d'esprit àce genre de choses. Mais là encore, M. et Mme. Peters avaient accepté "ces choses-là" telles qu'elles venaient, sans trop chercher à comprendre, si ce n'est le fait que la "chasse" d'Owen était bien plus dangereuse que la simple chasse au cerf.

En ce qui concerne la vie "publique", Charlie était vu par le reste des jeunes de son âge comme... un coureur. Et oui, mesdemoiselles, désespérez dans vos chambres rose bonbon, le beau, le magnifique Charlie Peters passait son temps à changer de fille comme de chemise. Une copine par là... une de ses amies par ci... sa pire ennemie un peu plus loin... Un comportement jugé inacceptable par sa soeur Sarah, mais qu'elle n'avait pu rapporter aux parents sous peine de terribles représailles menant à une humiliation cuisante sous les yeux de tous le sjeunes du lycée. Et oui, ces deux-là s'adorent, sans aucun doute. C'était LA grosse différence entre Oliver et Charlie, car Oliver ne savait, au contraire de Charlie, pas du tout du tout s'y prendre avec les filles, ce qui lui avait valu plus d'une fois les railleries de son frère. Et puis, tout avait changé du tout au tout. Oliver avait rencontré Jo. Il l'avait aimée comme un fou, comme Charlie n'aurait jamais pu l'imaginer. Il aurait tout donné pour elle, sa famille entière, son coeur palpitant, sa vie entière, peut-être même Charlie en personne selon ce dernier! Il l'avait courtisé comme il avait pu, déployant des trésors d'imagination (et de courage au vu de sa timidité) pour l'avoir pour lui tout seul. Elle l'avait pris. Elle l'avait consommé. Elle l'avait jeté. Basta. Et Charlie n'avait pas reconnu Oliver. Cette coquille vide, cet amas de douleur, d'amertume, de noirceur, ce monstre de désespoir ne pouvait pas être son frère, son Oliver, celui que Charlie aimait tant. Alors Dom Juan avait laissé de côté son costume de scène pour s'occuper de son roux préféré. Il l'avait déterré. Il l'avait rafistolé comme il pouvait. Il l'avait fait revivre. Comme il pouvait. C'est-à-dire en le traînant hors de son trou, en l'enfermant dans les boîtes de nuit. En l'initiant à la seule distraction que Charlie connaissait: la drague. Et ce avec l'aide d'Oscar, le grand frère d'Oliver, qui lui aussi était un tombeur connu et reconnu. Oliver avait imprimé la leçon, et, à son tour, tout comme ses professeurs, il avait mis ses atouts en avant. A présent, les filles il les prenait. Il les consommait. Il les jetait. Basta. La vie d'Oliver et Charlie resemblait maintenant à ces mauvais films américains qui passent le samedi après-midi à la télévision. Le plaisir, le boulot et les bars. Les filles, la chasse et la défonce.

Résumé de ce qu'il s'est passé durant l'année dernière : Qu'est-ce qui a changé dans la vie de votre personnage l'année où Cleveland a été détruit ? Où est-ce qu'il était avant, comment s'est-il retrouvé en ville à ce jour ? N'hésitez pas à raconter tout en détails.
Bien sûr, le cataclysme de Cleveland. Of course. Mais quelle importance? A côté de... de...
...
A côté de... ça... . Sarah. Sa belle Sarah. Sa seule et unique belle Sarah, avec ses cheveux caramel, ses yeux vert pâle... son rire cristallin... son air moqueur... sa façon de plisser son nez d'un air méprisant quand Charlie ramenait une énième conquête à la maison... Sarah et ses réflexions cinglantes. Sarah et son humour à deux balles. Sarah... Sarah... Sarah et... Collins (prononcez ce nom avec un ton dégoûté, comme vous le feriez en parlant d'un cafard). Et oui, même si on ne mélange pas serviette et torchon, blanc et noir, ange et démon, Sarah et Collins étaient deux noms associés à présent. La Belle et la bête. La proie et le monstre. Collins avait... tué Sarah. Un soir, il l'avait séduite, on ne sait comment, on ne sait trop où, dans une boîte, un bar, le résultat de toutes façons était le même. Il l'avait emmenée dans une chambre d'hôtel, il avait... fait ce qu'il avait envie de faire. Et il l'avait tué. En bon démon qu'il était. En bon incube qui se respecte. C'est Oliver qui avait deviné pour "incube". Avec l'aide d'Owen. Charlie, lui... plus capable de penser, de parler, de manger, de boire, de voir, d'entendre. Il était devenu fils unique. Fils brisé. Non, fils broyé. Mais frère soutenu. Frère hissé hors du trou par les bras solides d'Oliver. Celui grâce à qui Charlie n'avait pas complètement basculé dans le grand n'importe. A cette époque, les deux jeunes hommes avaient même dormi ensemble, Oliver avait trop peur que Charlie fasse une connerie. Et ce contact permanent avec son frère lui avait probablement sauvé la vie. Sentir constamment la chaleur humaine à ses côtés, entendre tout le temps une voix agréable et réconfortante. Voir tous les jours une main porter à ses lèvres fourchettes et verres, pour le nourir et l'abreuver. Comme pour un enfant. Et puis, un jour, Oliver, cet envoyé du ciel semblait-il, avait pris Charlie entre quatre yeux. "On part en chasse, Charl' " avait -il dit. Il avait pris toutes les affaires de son frère pour les jeter dans un sac de voyage, sorti de sous l'armoire la boîte à chaussure dans laquelle se trouvaient réunies toutes les informations accumulées sur "tout ça" et l'avait prise sous le bras. Il avait pris Charlie par la main et l'avait emmené jusqu'à la voiture. Ouvert le coffre de la voiture, vérifié que toutes les armes étaient bien à leur place. Et démarré. Collins avait frappé à nouveau. Et Charlie semblait s'être réveillé. Il avait échangé son apathie contre de l'énergie débordante, guidée par la haine et la soif de vengeance, mais pas par la justice comme Oliver. Si la justice était fiable, Collins serait prisonnier en Enfer, Sarah en train de croquer la vie à pleines dents. Un nouvel aspect s'était ajouté à sa personnalité. En plus du Charlie Juan connu de tous, on avait découvert Charlie L'Eventreur, traquant sans relâche, renvoyant en Enfer à tour de bras, exorcisant sans pitié, et prenant même un malin plaisir, une joie sadique à faire durer la souffrance, à réciter les mots latins len-te-ment... à voir se tordre les traits si humains en apparence de ces monstres. S'entraînant pour le jour où ce serait Collins qui serait attaché à cette chaise, au centre du pentacle, à se tortiller de douleur comme un vulgaire insecte auquel on a arraché une aile. Pour le jour où ce serait Matthew Collins, incube de son état, mec beau à tomber et assassin sans pitié de Sarah Tracy Peters, qui geindrait pour qu'on lui laisse la vie sauve sous le regard intransigeant de Charlie, sentant son essence abandonner lentement son corps pour s'évaporer quelque part d'où il ne reviendrait pas.

Famille :
Lorsqu'elle était au complet, la famille Peters comprenait Lena et John Peters, une styliste et un avocat sans problème, tous deux très respectables et respectés, appréciables et appréciés, et pourtant meurtris, brisés depuis l'année précédente... Et pour cause. Avant, la famille Peters comptait quatre membres. Les parents donc, mais aussi leur fils aîné et leur fille, Sarah. A présent, la famille avait été amputée, non, déchirée. Mutilée. Sarah avait été arrachée. Il n'y a rien de plus à dire.

Relations / Liens : Parlez des personnages que le votre connaît, quelle est la relation entre eux, etc.
La relation de Charlie avec Oliver Maraval est déjà bien décrite dans l'histoire, je ne vais pas revenir dessus.
Une relation bien différente est celle entre Charlie et Matthew Collins. Le beau, le sculptural, le magnifique Matthew Collins. Le mystérieux Matthew Collins. Le démon. L'incube. Le... le... SA proie. La proie de Charlie, la bête qu'il traque sans relâche. Le monstre, l'envoyé du mal qui n'a plus qu'une chose à craindre sur cette p***** de Terre: Charlie. Collins avait tué Sarah. Il l'avait séduite puis tuée. Alors Charlie allait le retrouver et le tuer. C'est assez précis comme description de relation?

* Autres informations

Joueur ou joueuse : joueuse
Personnalité de votre avatar : Le seul petit probleme, c'est que j'ai oublié le nom de l'acteur... laissez-moi le temps de retrouver le nom, ok?^^" >> Ca y est! J'ai trouvé (merci Ninis^^). Ryan Reynolds.
Comment avez vous connu le forum ? par Jude Summer.
Commentaires ? I wish you a merry Christmas, I wish you a merry Christmas, I wish you "A Very Supernatural Christmas"...

Si ça tente quelqu'un de tergiverser avec mon Charl', n'hésitez pas, envoyez un mp!
Code : Code OK

Désolée pour le post qui sert à rien, mais c'est pour qu'on voit que j'ai (enfin^^) fini la fiche.

Donc: FINI!

[Validey]

Bon jeu et j'ai bien aimé l'histoire

Désolée à l'avance de râler, mais si je suis validée, pourquoi mon Charlie n'a-t-il pas le droit à son nom écrit en belles grosses lettres blanches comme tous les autres chasseurs?? Je me suis dit que c'était peut-être une question de temps, mais vu qu'Oliver Maraval a été validé il y peu (oui, je veillais^^") et qu'il a son nom en lettres blanches, je me suis franchement demandé ce que j'avais fait pour être oublié de la sorte...*pleure*
Voila, c'était un tout petit râlage de rien du tout, juste un petit mot pour dire gentiment que...

Tout simplement parce que j'ai oublié