• SUPERNATURAL - City of Fear •
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


« It's evolution... Just evolution... And I do not dare deny the basic beast inside »
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Jamie Kusochiky
|°Winnie is Tired°|
Jamie Kusochiky


Nombre de messages : 560
{Pseudo} : Lip, Mr Despair
Date d'inscription : 24/09/2007

• Look inside your mind •
{Heart}: • In my time of crying
{Mood}: • Smells like burnt flesh
{Relations / Liens}:

Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Empty
MessageSujet: Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.   Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Icon_minitimeDim 7 Oct - 22:54

Je joue : Haydé et Alkador
Idée Générale et lieu : La rencontre qui n’aura jamais lieu entre père et fils, au club des alcooliques anonymes.

Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.


- ‘Ca fait… quelques mois que je n’ai pas bu d’hémoglobine…’

Haydé était ému par cette situation. Depuis qu’il est entré dans ce club où tout le monde l’acceptait comme il est, sa vie a changé. Le monde lui semblait moins rouge et plus calme et il arrivait à accepter qu’il avait fait autant de victime que le massacre de Nankin.
Après que sa phrase de confession eut été prononcé, la salle toute entière applaudit. C’était émouvant à voir. Il y avait Jakques, un vieux loup-garou qui était allérgique à l’hémoglobine et qui avait réussie à surmonter son envie pour ne pas mourir, et Jamie, un sado-maso qui avait décidé un jour de renoncer au sang. Humain comme démons, ils étaient tous réunis là, pour applaudire Haydé et son exploit.
Un mois sans sang c’était quelque chose. Il se sentait vide de toute puissance meurtière et libre. Oui ! Il se sentait Libre !
Le dirigeant du club, DarkVador aplaudit également. Bien que cet homme plein de mystéres, portant une cape et un masque noir n’avait jamais rien dit de méchant, il avat tout le temps envie de tuer tous ces démons. Il arrêtait pas de penser que sa vie aurait dû se dérouler autrement, qu’il n’était pas fait pour les alcooliques anonymes. Que quelque part là bas, au loin, il y ‘avait son fils Luc, à qui il avouerai… ‘Luc ! Je suis ton pète’
Il avait ce sentiment étrange d’avoir dû avoir cette vie là. Mais ce n’étaient que des sensations.
- ‘Et comment tu te sens Haydé ?!’ Demanda DarkVador avec sa voix si douce.
- ‘LIBRE !’

Ils applaudirent encore une fois, Jaques était ému, lui aussi avait surmonté ces étapes.

- ‘Et maintenant’. Commença DarkVador, ‘Acuillons un nouveau membre’

Un vampire avec un long manteau rouge entra dans la salle. Pessonne se sembla se rendre jusqu’ici qu’Alkador n’avait rien d’original, que sa créatrice, une folle fantasmant sur des dessins et refusant catégoriquement d’avoir une vie sociale, s’était inspirée de son manga préféré, Hellsing.
Alkador, Alucard, si on lit à l’envers ça fait Dracula, maintenant vous savez tous la vérité.
Le vampire avait longtemps hésité à avouer cette vérité, oui il n’était qu’une minable copie, un plagiat sans cœur. C’est pour cela qu’il voulut devenir quelqu’un de meilleur, quelqu’un de bien.
Il s’assit et la chaise grinça sous ses fesses froides. Son regard rouge ou des papillons de nuit agonissaient étaient magnifiques. Personne n’avait pensé que si on remplaçait les papillons par des mouches ou des moustiques, le vampire aurait eut, tout de suite, mois de classe.

- ‘Ca fait, une heure que je n’ai pas bu d’hémoglobine.’ Murmura-t-il avec une voix grave sorties des pornos arméniens sous titrés allemand.

Jamie, le sado maso applaudit avant de se rendre compte qu’en effet, le vampire avait sucée quelqu’un il y a une heure. Un silence inquiétant tomba dans la salle. Qu’allait-il se passer ? Est ce que Dracula est si cool qu’on le pense ? Est ce que Haydé se rendra compte qu’il est le fils de ce personnage copié d’un manga. Et arrivera-t-il a l’accepter ?


[idée, vous pouvez faire débarquer la femme d'Alkador ou la mère d'Haydé]
Revenir en haut Aller en bas
Jonathan Connor
• Scowling Stalker
Jonathan Connor


Nombre de messages : 471
Age : 33
{Pseudo} : Machinegun_arg, Machine
{Côté} : sur un échelle de noir à blanc: plutôt gris clair...
{Pouvoirs} : Métabolisme surpuissant, force et endurance
Date d'inscription : 03/10/2007

• Look inside your mind •
{Heart}: ... who really knows?... maybe...
{Mood}: scowlin' kickin'
{Relations / Liens}:

Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Empty
MessageSujet: Re: Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.   Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Icon_minitimeLun 8 Oct - 2:49

Je joue : Maïkaren Thompson, une démone

Elle hocha un peu la tête avec approbation en applaudissant, promenant son regard sur ses voisins pour savoir s’ils partageaient ce comportement. Une vieille dame aux allures de sadique refoulée lui adressa un sourire compatissant que Maïkaren s’empressa d’y répondre, beaucoup plus crispé et artificiel. Mon diable, pourquoi avait-elle accompagné le mortel qui lui devait son âme en échange de conseils judicieux?! Elle devait le suivre partout pendant les 6 ans de ce contrat, jouant les conseillé personnel en affaire comme en tout choix banaux… C’était un contrat pour l’âme du mec, cela semblait juste au début de réconforter une andouille en échange de sa damnation… Quand elle dut accompagner son idiot de mortel du New-Jersey jusqu’ici, jamais elle n’aurait cru que ce magnat des médias assassin de salon allait en fait se repentir et redémarrer à zéro…

La démone était donc là, à cette rencontre de Alcoolique Anonyme -où plutôt de Maniaque de Sang Anonyme- la belle femme qu’elle était en tailleur et jeans noirs sur corset rouge sang sur une chaise pliable et totalement laide, à jouer les Anonymes geignants et sympathique pendant que l’humain tueur qu’elle devait suivre était à la chambre de bain, sûrement depuis 15 minutes… Elle s’était fait avoir, elle aurait pu le parier : le mec qui ne savait pas s’habiller avait dut fuir par la fenêtre de la salle et la laisser poiroter dans un atmosphère à faire vomir, un sourire jaune aux lèvres.

Un mois qu’il n’avait pas bu de sang, celui qui s’ouvrait à la foule. Pitié, pensait avec exaspération Maïkaren, ne me dites pas que c’est vrai! Ils allaient tous verser une larme ou quoi? Elle voulut se lever pour quitter la salle et aller tambouriner à la porte des toilettes des hommes, mais un gros baraqué à sa droite la retint doucement, lui glissant à l’oreille :

« C’est dur pour tous, mademoiselle, vous n’avez pas besoin de vous cacher pour pleurer! »

Perplexe, elle se vit forcée de se rasseoir avec un air de fausse gratitude, maudissant son emploi et croisant les bras d’un air boudeur lorsque l’homme reporta son regard sur le mec en noir masqué qui animait la soirée. Elle s’amusa à murmurer : « ta gueule » à chacun de ses mots, agissant comme si rien n’était quand une personne assise près d’elle cherchait la source de ce petit son distrayant.

Mais quand un mec entra et alla s’assoire, Thompson cessa son petit jeu, sa curiosité piquée : ne l’avait-elle jamais vu auparavant? Du moins, elle aimerait bien le revoir ça s’était sûr. Après sa courte tirade, elle embarqua de tout cœur dans l’acclamation qu’il reçut, lui faisant même une ovation debout. Mais les gens se turent bien vite, laissant Maïkaren applaudir seule avec des petits cris d’encouragement qu’on voit plutôt dans les pubs d’ambiance sportive.

« Ouep, yeah, bravo! »

Son sourire fondit rapidement quand elle réalisa qu’elle était la seule à sembler contente de l’affirmation du vampire. Des regards qu’on lui jetait, elle se frustra rapidement contre elle-même et envoya sa chaise valser plus loin d’un fort coup de pied rageur en jurant comme un chauffeur de Yellow Cab dans le trafic de Manhattan. Encore on la regardait comme une aliénée et elle finit par s’en lasser et se tourna vers l’assemblée, les bras levés comme pour signifier qu’elle n’y était pour rien en lâchant comme une hystérique :

« Hé, ne… Hé! Je vous vois venir là, tous autant que vous êtes…" Elle oscilla un index accusateur sur ceux qu’elle voyait en continuant : "Vous croyez que je suis folle, là, tout à coup! Non, je suis parfaitement saine d’esprit! Je… Je ne suis pas… »

Elle se retourna d’un coup vers un mec dans l’assistance qui n’était pas mal non plus mais qui, elle le sentait, devait bien se moquer d’elle ((en fait c’est Haydé)) , pouvant jurer un instant avoir vu du mépris dans son regard.

« Ne vous mêlez pas de ça monsieur! Et, ça s’adresse à tout le monde ici, je ne suis pas folle! Juste un peu… secouée disons, et puis j’ai jamais bu de sang de ma vie d’ailleurs! Peut-être un peu il y a 68 ans mais quand même! »

Le gros homme juste à côté d’elle se mit à applaudir, touché par un discours d’acceptation si troublant et par la prouesse de sevrage de la démone. Le reste des Anonymes en firent de même et un bienfaiteur parmi eux, anonyme aussi, lui installa une autre chaise derrière elle. Encore plus frustrée et exaspérée, elle s’assit rapidement d’un air boudeur.
Revenir en haut Aller en bas
http://machinegun0arg.skyblog.com/
Jamie Kusochiky
|°Winnie is Tired°|
Jamie Kusochiky


Nombre de messages : 560
{Pseudo} : Lip, Mr Despair
Date d'inscription : 24/09/2007

• Look inside your mind •
{Heart}: • In my time of crying
{Mood}: • Smells like burnt flesh
{Relations / Liens}:

Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Empty
MessageSujet: Re: Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.   Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Icon_minitimeLun 8 Oct - 20:04

Le silence tomba dans la pièce et même DrakVador n’avait rien à dire. La femme était vu comme une folle par tous les membres du groupe, mais ce qui était le plus flagrant c’était que tout le monde avait oublié que le vampire plagié en manteau rouge était assoiffé de sang. Il aussi avait oublié et s’installa tranquillement sur les genoux d’un vieille dame qui fit un bruit de cochone.
Mais tout semblait trop calme. Ce calme avant la tempête que nous connaissons si bien à Cleveland. Le calme du bébé, à trois heures du mat’ alors que tu fais un joli rêve avec une orgie d’homme et que le bébé hurle et te réveille. C’est ce genre de silence là, quand il est intérrompu, rien de va plus.
Ce fut Jean-Pierre Pernaut, qui, depuis qu’il s’est fait viré de TF1, était venu en amérique pour trouver la vérité de son renvoi surnaturel.
- ‘Des beigneeets, des beignes tout chauds, rhésus plus, groupe O et AB’
- ‘Ta gueule Jean-Pierre ! ‘ Hurla Haydé.
En effet, ils se connaissant. Lui aussi avait un père mal placé et ils s’étaient vus au club des familles dingues anonymes.

La glace au chocolat, il n’y avait rien de pire que ça. D’ailleurs, à va vu des beignets dont le milieu saignait, d’un sang noir, Haydé pensa au chocolat. Et lorsqu’il leva les yeux vers la femme digue qui boudait comme un saucisson, il se rendit compte qu’elle était rousse (tu permet ?). Et Dieu sait à quel point il aimait le caramel. Et ce roux sur sa tète ressemblait tellement au caramel en shpray que le vampire, après avoir poussé un cris de guerre se jeta sur la tète de la femme. Ses cheveux n’étaient plus que salive et chips [il en avait mangé il y a une heure]

- ‘Haydé ! Ne cède pas à la tentation maintenant !’ Hurla Jaques en pensant qu’il voulait tuer la femme.
- ‘Je suis ton père !’ Hurla DarkVador soudainement prit de nostalgie par la vie qu’il n’aura jamais.
- ‘Non ! C’est moi !’ Protesta Alkador qui, secoué d’émotion essaya de regarder Haydé dans les yeux.

Mais ce dernier était trop occupé à sucer la tète et les cheveux de la femme. Agripper dans son dos, il semblait skotché à elle, et elle avait beau tourné que le gros cafard qu’est Haydé ne semblait pas pouvoir se détacher un jour.
Revenir en haut Aller en bas
Jonathan Connor
• Scowling Stalker
Jonathan Connor


Nombre de messages : 471
Age : 33
{Pseudo} : Machinegun_arg, Machine
{Côté} : sur un échelle de noir à blanc: plutôt gris clair...
{Pouvoirs} : Métabolisme surpuissant, force et endurance
Date d'inscription : 03/10/2007

• Look inside your mind •
{Heart}: ... who really knows?... maybe...
{Mood}: scowlin' kickin'
{Relations / Liens}:

Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Empty
MessageSujet: Re: Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.   Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Icon_minitimeJeu 11 Oct - 17:58

Assise à sa nouvelle place, Maîkaren faisait des efforts surdémoniaques pour ne pas aller arracher un par un les yeux des gens qui la dévisageaient encore, ou même de leur foutre le feu au pantalon, les dames incluses. Ce serait drôle : ils courront partout, en flammes, mais n’oseront pas éteindre ce feu qui les crame juste parce que cela semblerai osé…

Elle décida de bouder l’autre bizarre à l’accent français qui criait pour avoir des beignets et des groupes sanguins, grommelant pour elle-même qu’elle allait bien le faire frire avec des brocolis et des navets et que de toute façon, elle était O négatif. Alors qu’elle continuait ses réflexions à mi-voix qui tournaient autour du même sujet, soit de tuer les autres ici puis d’aller passer un week-end dans un salon de coiffure, cachée derrière une table pour insulter à plein poumon chaque coiffure sans se faire voir, elle se fit sauvagement agresser.

Un fou furieux lui avait sauté dessus et mordait et léchait et bouffait ses cheveux, telle une chèvre dans un champ de chou, mais là cette fois c’était un forcené qui lui arrachait ses jolis cheveux roux fluorescents!! La bave lui coulait dans les yeux alors qu’elle hurlait comme un chat qu’on étrangle sur un barbecue.
Elle n’entendait pas les vaines tentatives de raisonner le bouffeur de chevelure orange, trop occupée à s’époumoner et à tourner en rond dans l’espoir que la sangsue allait décoller et s’écraser sur un mur. Elle se saisit même d’une chaise et tenta de le frapper avec une chaise, comme dans un bon show de lutte américaine, tout en continuant son petit sprint et en bousculant tout le monde sur son passage.

Même le petit-fils de Pinochet, venu pour se changer les idées et suivre une belle thérapie calmante, n’arriva pas à aider la pauvre femme en balançant le contenue de la carafe mit à leur disposition, même que ce fut pire : cela augmenta l’adhésion sur le veston chic de la démone.

Au comble du désespoir, toujours en hurlant comme un babouin, Thompson alluma de ses pouvoirs démoniaques, une belle flamme sur la tête de son envahisseur méchant et insensible à la peine d’une pauvre femme sexy mais folle…

« Tu vas crever, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRGGGGGGGGGG »

Lança t’elle en s’étouffant avec la salive de l’autre et ses propres larmes
Revenir en haut Aller en bas
http://machinegun0arg.skyblog.com/
Contenu sponsorisé





Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Empty
MessageSujet: Re: Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.   Une histoire de famille...Luc, je suis ton père. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Une histoire de famille...Luc, je suis ton père.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Les Winchesters et leur histoire

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
• SUPERNATURAL - City of Fear • :: || Hell's Door || :: Mysterious Road :: Exculation : Cut Scenes-
Sauter vers: